Le 18 septembre 2018 - Ceux d’entre vous qui sont abonnés à notre fil d’information Telegram le savent déjà, nous avons rencontré hier notre nouveau Directeur Général, monsieur Benjamin Smith. Recevoir le principal syndicat de pilotes rapidement était un bon signal de la part de notre nouveau dirigeant. Cet entretien fut notre première occasion d’évoquer les principaux sujets qui nous tenaient à cœur.

Le 15 septembre 2018 - « Le calendrier est complexe. Ben Smith doit tenir compte du paysage syndical et intégrer la perspective des élections au SNPL, le syndicat national des pilotes de ligne, début décembre puis celles des élections professionnelles au printemps. Trouver un accord sur les salaires apporterait une victoire sur un plateau au président du SNPL, Philippe Evain, et faciliterait la reconduction de l'équipe dirigeante actuelle à la tête du syndicat. Un scénario que tous les membres de la direction et du conseil d'administration qu'il a vu depuis 15 jours, ont dû lui conseiller d'éviter. Si l'exécutif actuel du SNPL, dirigé par Philippe Evain, est reconduit pour quatre ans, les chances de reconstruire la compagnie sont quasiment nulles, assurent plusieurs observateurs. » La Tribune – 14 septembre 2018 Les « observateurs », par la voie des médias, ont donc choisi pour les pilotes. L’équipe actuelle du Bureau Air France SNPL est déclarée persona non grata pour les quatre prochaines années. L’avenir de la compagnie en dépend, c’est dit !

Le 14 septembre 2018 - Poursuivant notre travail de rétrospective, nous vous proposons de retracer les événements qui ont concouru au solde de l’accord Transform 2015. Celui-ci aura structuré notre action lors de la première moitié de notre mandat, jusqu’à la signature de Trust Together .

Le 10 septembre 2018 - L'information en direct : suivez-nous sur le fil telegram du Bureau Air France

Le 5 septembre 2018 - Notre nouveau Directeur Général, Benjamin Smith, est nommé depuis trois semaines maintenant. Libéré de ses fonctions à Air Canada, il a pu rencontrer ces derniers jours l’encadrement de notre compagnie. Les réunions avec nos directeurs se succèdent.

Le 4 septembre 2018 - Ces derniers temps, l’actualité autour de la gouvernance d’Air France-KLM et la nomination de Benjamin Smith en tant que directeur général de la holding ont notamment eu pour effet de masquer ce qui se déroulait au sein même des compagnies Air France et KLM. Toutes deux se retrouvent enlisées dans des désordres opérationnels avec pour conséquence des affrètements et des annulations de dernière minute, montrant ainsi l’étendue de l’incompétence de leurs hiérarchies respectives. KLM a fait le choix de limoger les responsables Opérations, Formation et Recrutement. Que fera Air France ?

Le 31 août 2018 - Alors que nos collègues pilotes de KLM sont en train de refuser une augmentation - insuffisante selon eux - de plus de 9 % proposée par notre direction et menacent d’un conflit imminent, alors que notre nouveau PDG se voit attribuer un salaire trois fois et demi supérieur à celui de son prédécesseur, le temps semble s’être arrêté pour les pilotes d’Air France. Serions-nous les seuls à devoir être honteux d’ambitionner quelques rattrapages de salaire, alors même que l’inflation sur les prix à la consommation sur cette dernière année a été de... 2,3 % ?

Le 29 août 2018 - Courant septembre va débuter une période électorale divisée en deux temps. Ces deux phases sont souvent mal comprises. Elles correspondent d’une part aux élections des Responsables Syndicaux (RS) composant le Conseil (CAF) de la section Air France du SNPL, d’autre part à l’élection des élus CSE (anciennement élus Délégués du Personnel, CHSCT et Comité d’Entreprise).

Le 28 août 2018 - Alors que le mandat confié par le conseil Air France il y a presque 4 ans s’achèvera début décembre, nous vous proposons de revenir sur quelques épisodes importants de notre mandat et évoquer ainsi ce qui, de nos objectifs, a été atteint et ce qui ne l’est pas encore.

Le 21 août 2018 - Si l’arrivée d’un professionnel à la tête d’Air France KLM nous séduit, nous avons été surpris et il faut bien le dire un peu affectés, qu’aucun Français n’ait trouvé grâce aux yeux du comité de nomination. Loin de toute considération xénophobe, l’expérience de la dérive des prod-balance nous rend forcément plus méfiants.