La Ligne 662 d’octobre 2020 est disponible

S’il est un sujet d’actualité en ce moment, c’est bien celui de l’Activité Partielle de Longue Durée. Alors que le dispositif d’activité partielle, tel qu’il a été conçu au début de la crise sanitaire cède progressivement la place à ce nouveau mécanisme, La Ligne d’octobre a choisi de revenir sur les principes de fonctionnement de l’APLD et sur la façon dont il prévoit d’accompagner une crise économique qui s’annonce durable. Un focus réalisé avec le concours du Service juridique du SNPL à retrouver en couverture de ce numéro (...)

La Ligne 660 de juillet-août 2020 est disponible

Connaissez-vous le fonctionnement de CORSIA, le programme OACI de compensation et de réduction des émissions de carbone pour l’aviation internationale ? Né de la signature de l’Accord de Paris en 2015, il demeure malheureusement méconnu du grand public. Il est pourtant l’un des principaux mécanismes imaginés par le secteur aérien pour contribuer à l’effort global de lutte contre le changement climatique et doit officiellement entrer en application dans les prochains mois. (...)

La Ligne 655 de février 2020 est disponible

Le Flygskam (honte de prendre l’avion), phénomène né en Suède en 2017 qui en quelques mois seulement a permis à certains de jeter l’opprobre sur notre secteur d’activité, a-t-il eu un impact réel sur la vente de billets ? Le transport aérien fait-il suffisamment d’efforts pour réduire son empreinte carbone ? Et plus généralement le phénomène « d’aérien bashing » est-il appelé à durer ? Telles sont, entre autres, les questions qui ont animé le travail d’un groupe de chercheurs de la Montpellier Business School. Ces derniers se sont attachés à décortiquer la différence entre la perception de l’impact environnemental du transport aérien par les français et la réalité de sa situation. La Ligne de février revient sur les enseignements de cette étude qui vient d’être publiée par la Chaire Pégase.

DECARBONATION DU TRANSPORT AERIEN : Le Potentiel des Carburants Alternatifs

Depuis le mois de juillet 2019, le SNPL France ALPA travaille avec Carbone 4, un cabinet indépendant spécialisé dans la transition carbone et l’adaptation au changement climatique, au travers d’une étude sur la taxation « environnementale » du secteur aérien et plus généralement sur les possibilités pour limiter les émissions de CO2 dans l’aérien.

La Ligne 652 de novembre 2019 est disponible

L’écologie a le vent en poupe. Ce sera encore vraisemblablement le cas en 2020 mais avec quel impact sur le transport aérien et le pavillon français dans un contexte où notre secteur d’activité est accusé de tous les maux par certains ? A l’heure ou Élisabeth Borne, Ministre de la Transition écologique, annonce la mise en place d’une nouvelle taxe sur le transport aérien dans le cadre de la lutte contre le réchauffement climatique, le SNPL a mandaté un cabinet indépendant spécialisé dans la transition carbone et l’adaptation au changement climatique pour réaliser une étude d’impact de cette taxe. La Ligne vous en dit plus sur ses premières conclusions.

Ecotaxe – Fiscalité et décarbonation du transport aérien

À la suite de l’annonce gouvernementale, en juillet dernier, de la mise en place d’une nouvelle « écotaxe », le SNPL France ALPA a fait réaliser une étude sur la fiscalité du transport aérien (TA), ses différents impacts et son efficacité en matière de transition écologique, par Carbone 4, un cabinet indépendant spécialisé dans la transition carbone et l’adaptation au changement climatique.

Communiqué de presse : Écotaxe sur les billets d’avion – Le SNPL s’oppose à une taxe de plus affaiblissant les compagnies aériennes françaises

Aujourd’hui, à l’issue du Conseil de Défense Écologique, le Gouvernement a annoncé la mise en place d’une écotaxe sur les billets d'avion à partir de 2020 pour l’ensemble des vols au départ de la France (sauf vers la Corse, l'Outre-Mer et les vols en correspondance). Depuis des années, le SNPL demande aux Gouvernements successifs la mise en place d’une stratégie nationale ambitieuse pour l’aérien et la réponse n’a cessé d’être la même : la création de nouvelles taxes affaiblissant un secteur soumis par nature à une forte concurrence internationale.